CaTa`Str0ph!
Maëlle Austhen
23 ans & 8 décembre 1987
“ LITLLE MORE PRECISIONS ”.
QUE FAITES-VOUS A WELLINGTON ? Elle part à la chasse aux papillons, mange des pots de confiture en cachette et exerce aussi le métier pour le moins merveilleux de fleuriste. QUE PENSEZ-VOUS DE CES MEURTRES SUSPECTS ? Maëlle est à vrai dire complètement effrayée ! Dès qu'elle entend un bruit la nuit, elle ne peut s'empêcher de penser que l'un d'eux est venue la chercher. Elle a même fait mettre une autre serrure à sa porte. Elle garde sous son oreiller une grande cuillère en bois – seul objet qu'elle ait trouvé susceptible de faire peur chez elle – et est convaincue de pouvoir se défendre avec si on venait l'attaquer dans son sommeil. QUELLE EST VOTRE PLUS GRANDE PEUR ET COMMENT RÉAGIRIEZ-VOUS DEVANT ? Outre sa peur bleue des crapauds, elle est également effrayée face à un balais ou un aspirateur. Moins elle fera le ménage, mieux elle se portera. Plus sérieusement, sa plus grande peur est la solitude. Maëlle a besoin de compagnie pour vivre et elle ne peut pas s'imaginer plus tard vivant seule dans un appartement puant la naphtaline avec ses 79 chats. AVEZ-VOUS QUELQUE CHOSE EN PARTICULIER ? Elle est accro aux bonbons et a besoin de sa dose quotidienne. Elle est affreusement maladroite. Elle n'arrête pas de tripoter ses cheveux. Et elle incroyablement douée pour le dessin (c'est difficile à concevoir, je sais).
COMMENT VOUS DÉCRIREZ-VOUS EN QUELQUES MOTS ? « Comment me décrire ?
Déesse grec au charme ravageur ? Ou encore mannequin à l'humour sans égal ? Non mieux encore :
Super star hyper sexy à l'intelligence surdéveloppée avec un banc de mecs pour chaque jour de la semaine ! Si seulement... Je suis plutôt le second rôle : l'amie sympa, maladroite et surtout très stupide qui donne un caractère comique aux films, la
bout-en-train en quelque sorte. Ce n'est tout de même pas ma faute si mes jambes ont du mal à suivre une ligne droite ? Saoule sans l'être vraiment. Ah ça oui je fais bien rire les autres mais est-ce réellement ma faute ? Les paroles des gens m'apparaissent parfois comme des brides inintéressantes, alors mon esprit s'ouvre à un autre univers.
Liberté ! L'imagination n'a pas de limites. Il n'existe aucune règle qui régit notre vie comme si on était un personnage de roman. La plume de l'écrivain est sans pitié face au destin de son personnage, il le connaît déjà, sa voie est toute tracée. Aucune erreur n'est possible dans un monde sans règle. La vie en décide autrement.... Alors est-ce réellement ma faute si mon esprit vole souvent vers un autre monde. « Vers l'infini et l'au delà » dirait
Buzz l'éclair. Qu'est ce qui m'empêche d'agir autrement ? « Maya... Maya...
MAËLLE ! Pourquoi est ce qu'il faut toujours que tu rêves ? T'en as pas marre d'être dans la lune ? » Hein quoi ? Je m'excuse, je ne vous ai pas entendu, pouvez-vous répéter la question ? Oh, je les connais les remarques à mon sujet : « Maladroite », « une vraie petite peste ! », «
Lunatique, maladroite et complètement dérangée », « un OVNI... » « Naïve ! » « un vrai petit ange... Peut-être un peu déglinguée »... J'en oublie certainement.
En revanche, je ne pense pas être quelqu'un de méchant, au contraire. Je fais attention à mon prochain et protège souvent les gens qui m'entourent. Un peu comme
Wonder Woman. Bon d'accord; j'avoue ne pas avoir de pouvoirs mais je vole vers mes amis, me moque de leurs ennemis, et tout rentre dans l'ordre : « Il vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours. » Enfin jusqu'à ce que je mette le feu à la maison, casse la télévision, et me retrouve en pyjama
Bisounours enfermé dehors. Hum. Le ridicule ne tue pas comme dirait
l'inspecteur Gadget ! Mais outre ma maladresse, je suis surtout la meilleure amie de tout le monde. Le petit bout de choux qu'on considère toujours comme une gamine mais qu'on aime bien. En plus de ça elle est rigolote, comment ne pas l'aimer ? « LA FERME ! » Okay, j'me tais... Laissez-moi juste vous expliquer : a-t-on déjà dit à
Spiderman d'arrêter de tisser ses toiles ? A-t-on déjà dit à Batman que toujours porter du noir était dépassé ? A-t-on déjà dit aux
Teletubbies d'arrêter de danser ? Aux
Spice Girl d'arrêter de chanter ou à
Franklin d'arrêter de compter et lasser ses chaussures ? Non, alors je ne vois pas pourquoi j'arrêterais de parler.
« Maëlle c'est toi qui a mis de la confiture dans mes chaussures ? » Non, c'est les petits lutins du Père Noël qui sont passés – grand sourire. J'avoue j'aime faire des farces. Mais laissez-moi vous expliquer : quand on voit quelqu'un la mine dépité, les traits tellement affaissés qu'on croirait qu'il a soixante-dix balais, on ne peut rester assis à le dévisager bizarrement. C'est un devoir de l'aider à reprendre le sourire ! Pure source de joie, il est à vrai dire très rare de me voir déprimer. Je suis au contraire une pile électrique. Sautille partout, cours dans tous les sens, embête tout le monde – mais où est-ce qu'on enlève les piles ? Le secret c'est qu'elle utilise Superpile : les piles qui tiennent pour toute la vie, garantie ou remboursé ! « Papa, Eli', j'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer. Vous feriez mieux de vous asseoir, ça sera sûrement un choc... Je suis malade. Très malade. Une maladie incurable, le syndrome de
Peter Pan. Ne pleurez pas, je sais, c'est un choc... » Malgré mon âge, je suis ce qu'on pourrait qualifier d'une gamine. Mais ne vous méprenez surtout pas, je sais quelqu'un de responsable et mature quand il le faut – attention ton nez s'allonge Maëlle ! Il est vrai qu'en me regardant comme ça, on dirait franchement pas mais l'espoir fait vivre n'est-ce pas ? Alors croisons les doigts pour que mes rêves se réalisent : voler, avoir des pouvoirs comme Harry Potter, me nourrir que de framboises et surtout, mon plus grand rêve, que Barbie se teigne enfin les cheveux en rose ! »
“ INSERT YOUR LIFE HERE ”.
ANECDOTES « J'veux pas manger c'est caca ! » Maëlle boudait, ses deux petits yeux espiègles fichés dans ceux de sa mère. Il est à vrai dire assez difficile de faire manger des choux de Bruxelles à une petite fille, surtout si celle-ci s'appelle Maëlle. Jane Austhen était désespérée même la technique de l'avion qui tourne, qui tourne, et qui rentre dans la bouche n'avait pas marché – pour vous dire ! Son père qui pourtant était un homme de caractère n'avait réussi à la faire manger. C'était peine perdue...
« Maëlle reviens ici ! Elisabeth va la chercher s'il te plaît.... » A deux ans déjà, la jeune fille courait partout sous le regard alarmé de ses parents. S'ils n'avaient eu aucun repos avec sa grande soeur, c'était pire avec Maëlle. Mais sous leur apparente anxiété, ils couvaient surtout du regard leurs deux petits chérubins. Maëlle avait toujours adoré sa mère. Ses boucles rousses descendant en cascade sur son dos, ses sourires attendrissants, la douceur de sa peau, elle était magnifique. La beauté émanait d'elle de partout. Elle aurait pu la contempler pendant des heures, plongeant son regard admiratif dans ceux d'un vert éclatant et rayonnant de sa mère. Hélas, le parfait petit tableau de famille qu'ils constituaient se vieillissaient, se tâchaient, pour finir par se déchirer en mille morceaux...
«
Elle est où maman ?
- Elle est partie au pays imaginaire. C'est papa qui me l'a dit.
- Mais... Moi aussi je voulais y aller. Pour... Pourquoi elle nous a pas amené ?
- Je ne sais pas Maya... »
Si les deux petites filles avaient été affectées par le départ de leur mère, ce n'était rien en comparaison de la tristesse de leur père. Lui d'un général bon vivant et joyeux, paraissait terne et sans vie jusqu'à ce qu'il rencontre Lindsay. Lindsay par-ci, Lindsay par-là et blablabla. Mais qui était cette Lindsay pour qu'il en parle si souvent ? Une actrice super connue ? Une musicienne de renom ? Non parce qu'il en parlait comme l'une des huitièmes merveilles du monde. Enfin, ça lui passerait sûrement...
«
Maëlle, Elisabeth, descendez s'il vous plaît. J'ai à vous parler... » Maëlle, les jambes croisées et assise par terre, dévisageait la montagne de fringue qui la devançait. Elle avait essayé plusieurs fois de cligner des yeux ou de claquer des mains pour que tout se range dans son armoire mais apparemment il fallait s'appeler
Sabrina pour y parvenir. Elle était en pleine réflexion lorsqu'elle avait entendu la voix de son père. Enfin ! Yes ! Il s'était
enfin décidé à lui offrir ce super ordinateur portable dont elle rêvait. Appeler sa soeur pour la rendre jalouse n'était pas très fair play mais si elle ne descendait pas, Maëlle aurait sûrement crié assez fort pour qu'elle ne vienne par elle-même. Elle dévala les escaliers, manquant de se rétamer à plusieurs reprises, et après un dérapage contrôlé dans le couloir, elle s'arrêta net devant le canapé dans lequel elle s'affala « gracieusement ». Où était le paquet, les petits noeuds et tout le tralala ? Pourquoi son père faisait-il cinquante fois le tour du salon, l'air mal à l'aise ? Il n'avait tout de même pas perdu son boulot ? Elle du attendre que sa soeur daigne se montrer pour enfin avoir une réponse. «
Vous allez avoir une belle-mère. » Stop. Retour en arrière.
QUOI ?! Autant annoncé que la Tour Eiffel était en plastique ou que le Taj Mahal en fromage, mais pas
ça. Maëlle lui en voudrait, pendant un moment... Jusqu'à ce qu'elle trouve des idées pour faire partir cette sorcière...
Une harpie ! Tout le monde connaît la sorcière dans Blanche neige, celle qui vous faisait pleurer ou encore vous cacher derrière le canapé, et bien elle était pire, bien pire. Toutes ces couches de maquillages, toutes ces breloques accrochés autour de son cou ou de ses poignets; comment arrivait-elle à tenir debout ? Et le pire restait à venir : elle avait un caniche. Non, pas les caniches mignons que vous prenez dans vos bras, les yeux pétillants, et les mains avides de caresses. Non. C'était un caniche au poil noir, les yeux qui devenaient rouges la nuit – non ça Maëlle l'avait juste imaginé – et qui mordait dès que vos chevilles traînaient un peu trop près de ses crocs.
Un caniche vampire ! Avec sa soeur, elles avaient d'ailleurs inventé à elles deux, les
MEM soit les Missions Expulsion de la Marâtre. C'était plutôt subtil. Il fallait faire attention à ne pas réveiller la furie à tête de cochon. Chacun de leurs gestes étaient calculés d'avance pour permettre au mieux de réussir la mission. Elles s'imaginaient souvent en pleine mission pour le FBI. Tout au fond la grotte du monstre, à l'entrée la vaillante Elisabeth et sa soeur, Maëlle la brave, et entre elles, une armée de super ninja. Le seul moyen de passer était d'exterminer l'armée des ninjas sans faire de bruit. Ses grognements (soit les ronflements du caniche vampire) faisaient trembler la grotte et sursauter les agents secrets. La partie la plus amusante restait la fin de la mission, quand elles remplaçaient le parfum de la marâtre par du produit WC, ou encore son dentifrice par de la crème pour boutons. Un cauchemar pour quiconque affrontait la colère des soeurs Lodway. En bref c'était l'horreur.
Mais la vie apporte son lot de surprises et il en est une que Maëlle ne put supporter. Qu'il se trouve une nouvelle femme, ça passait encore, mais qu'ils aient un bébé ensemble, c'était la goutte d'eau qui éloigna définitivement Maya de sa famille. Elle avait 18 ans quand elle était partie pour Wellington et en a désormais 23. Elle n'a plus de nouvelles de sa famille et s'en porte bien. La seule chose susceptible de l'inquiéter est toutes ces morts étranges qui ne cessent de redoubler. Elle a beau vivre dans sa bulle, elle n'a pas envie qu'elle éclate sous l'emprise d'un serial killer en chasse. Elle est pourtant bel et bien obligée de faire comme si de rien était et poursuivre sa petite vie « tranquille »... Fin. Ah non, toute histoire a ses derniers mots :
Hakuna Matata.
“ BEHIND THE SCREEN ”.
présentation rapide Joanna, 18 ans, plus connue sous le pseudo de CaTa`Str0ph! sur les forums de créations ^^avatar Sienna Miller <3commentaire Youpidouuuuuuuu ! le mot magique S'il vous plaît ? XD *baaf*
okay par émilie