ENDLESS STARLIGHT
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BLACK ▪ Les chroniques d'un démon.

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Black Downey

Black Downey

♦ messages : 24
♦ copyright : avatar : infinity back ♦ icons @ LJ.


♣ ARE YOU AFRAID ?
AGE: 1666 ans (25ans)
JOB: no job.
RELATIONSHIPS:

BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. Vide
MessageSujet: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyMer 14 Avr - 22:35


BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. Eqs0a1
psychozee
black downey
25ans & le 12 avril 1985.


AND YOUR POKER FACE ?
.

NOM AU SEIN DES VALTAFËA ♦️ Crow
ÂGE RÉEL ♦️ 1666 ans
DATE DE NAISSANCE ♦️ le 12 avril 344 après J-C.
DATE DE RECONVERSION ♦️ le 18 Juillet 369 après J-C.
LIEU DE RECONVERSION ♦️ Londres, Angleterre.

LITLLE MORE PRECISIONS
.

QUE FAITES-VOUS A WELLINGTON ? ♦️
Je viens d’arriver à Wellington, mais ce n’est pas mon premier passage ici. J’ai passé un été ici il y a environ une cinquantaine d’années. Ma venue ici n’est pas pour des vacances mais pour les informations que j’ai eues sur cette ville. En effet depuis un moment des rumeurs courent chez les Valtafëa que certains d’entre nous se montrent trop et que les humains se posent des questions sur des disparitions répétées et des découvertes de corps. Je n’aime pas ça, je n’aime pas que les Valtafëa se fassent voir, ça fait des siècles et des siècles qu’on arrive à se fondre dans la foule et ce n’est pas des jeunes Valtafëa affamés qui vont gâcher toute cette discrétion acquises d’années en années. Je suis ici pour essayer de voir quel est le problème, ou plutôt qui sont les problèmes. Je suis ici pour régler ces problèmes, par tous les moyens possibles.

QUELLES SONT VOS PROIES FAVORITES ? ♦️
Je n’ai pas de proies favorites mais il m’arrive de m’amuser avec des femmes quand j’en ai envie. Quand ce n’est que la faim qui me pousse à m’attaquer à un humain je prends la première chose que j’attrape. Le fait est que lorsque j’ai envie de m’amuser, je dois séduire une femme – ce n’est pas spécialement difficile pour moi, mais ça prendre davantage de temps. Alors que quand je suis affamé, je n’ai qu’à m’attaquer sauvagement au premier venu. Ce n’est pas difficile pour moi mais la victoire a moins de goût et ça ne me permet pas d’assouvir une autre envie qui me reste de l’homme que j’étais.

ÊTES-VOUS SATISFAIT DE VOTRE CONDITION DE VALTAFËA ? ♦️
Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux. Je n’ai pas de contraintes car j’ai l’apparence d’un humain. Je suis tout à fait satisfait de ma condition en tant que Valtafëa. Le seul problème est qu’on ne peut s’attacher à un humain. En effet, si on ne veut pas le transformer, on le regarde mourir à petit feu. C’est vrai que sur le coup c’est assez gênant, ça en devient vite morbide, mais avec le temps on oublie vite, surtout quand on vit depuis plusieurs siècles, on ne fait plus attention. Une contrainte assez minime qui agace un peu, c’est que parler avec un humain en devient lassant quand on en connait trop sur le passé des choses et que cet humain s’obstine à vouloir avoir raison. Dans ce cas, il m’arrive de m’emporter et de prendre un encas.

VOUS AVEZ BIEN ENCORE UNE PART D'HUMANITÉ, N'EST-CE PAS ? ♦️
▪️ Il ne boit pas, ne fume pas et ne se drogue pas. Tout ce qui lui faut pour planer, c'est une âme.
▪️ Son côté anglais à l'ancienne, le pousse à haïr la France et les français, qui sont pour lui leurs plus grands ennemis.
▪️ Il a voyagé dans le monde entier durant toutes ces années.
▪️ Il ressent une certaine amertume envers les humains. On ne sait pas d'où elle provient.
▪️ Il a bien dû se faire quelques reines d'Angleterre, mais pour lui ce n'est pas ses meilleurs coups car il pourra vous le prouver, les servantes sont meilleures au lit.
▪️ Il déteste les Valtafëa qui se font remarqués.
COMMENT VOUS DÉCRIREZ-VOUS EN QUELQUES MOTS ? ♦️ Stricte, possessif, protecteur, franc, peu sociable, s’attache très peu, courageux, déteste qu’on lui dicte des règles, bagarreur, impulsif, volage, rancunier, envahissant, déterminé, imprévisible, rusé, mystérieux, macho, cynique, charmeur.

BEHIND THE SCREEN
.

présentation rapide ♦️ Chafia, épicétout. (:
avatar ♦️ Ian Somerhalder
commentaire ♦️ flowers
le mot magique ♦️ Code OK (Flow)


Dernière édition par Black Downey le Lun 26 Avr - 3:33, édité 7 fois
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Black Downey

Black Downey

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♣ ARE YOU AFRAID ?
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JOB: no job.
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BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. Vide
MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyMer 14 Avr - 22:35

    INSERT YOUR LIFE HERE
    .


    IT'S MY DAMN REBIRTH, MY OWN SECOND CHANCE.

    BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. Dn1q8z BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. 23r8kmg BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. Qrnsig

    Je ne me souviens pas vraiment de ma vie d'humain, juste l'essentiel. Cela remonte à tellement longtemps et d'après moi c'est mon cerveau qui refuse de s'en souvenir. Ma vie était tellement dénuée d'action et de plaisirs, tout était travail et... travail. Je me souviens seulement que j'avais une femme et deux enfants. A 25ans oui, mais à l'époque on dépassait rarement les 35ans alors on faisait bien de fonder une famille très vite. Pour ma part, ma femme était très serviable, je l'appréciait bien même si elle me tapait parfois sur le système. Rien comparé aux femmes d'aujourd'hui, féministes jusqu'au bout de leurs ongles manucurés. quant à mes enfants je n'ai pas eu le temps de bien les connaitre, mais je sais que je les voyais réussir davantage que moi, qui était qu'un modeste paysan. Ma femme était travailleuse et ne ronchonnait pas. Le seul problème qu'elle m'apportait c'était le fait qu'elle ne veuille pas coucher avec moi tous les soirs, sur ce coup-là j'ai toujours eu un appétit d'ogre et ça n'a pas changé depuis que je suis transformé. Ma transformation ? Oui, ça a été plutôt difficile, surtout par la façon dont ça a été fait. Il faut dire qu'à l'époque, les Valtafëa devait être beaucoup plus cruels que maintenant, un peu comme les hommes... En effet j'ai vu ma femme et mes deux enfants se faire tuer devant moi. Tout a commencé un jour d'hiver... Un terrible hiver qui m'avait coûté un bœuf et cinq poules... C'est modeste vous dites ? Mais c'était tout ce que j'avais à l'époque...

    Le reste de l'année et même le reste de notre vie semblait s'assombrir, perdre autant en si peu de temps annonçait une famine sûr dans les parages, surtout quand on sait que nous n'étions pas les seuls à avoir perdu une partie de notre bétail. Un soir où la neige recouvrait nos modestes champs, quelqu'un vint taper à la porte en bois de ce qu'on pouvait appeler notre habitacle. Agrippant soudainement ma machette - à l'époque les fusils ne tombaient pas du ciel, sachant que ce n'était pas normal, j'ouvris tout de même aux inconnus. Trois hommes entrèrent alors rapidement dans la mais, Marianne ma femme fut surprise et attrapa dans ses bras nos enfants, tandis que moi je menaçait les hommes de ma machette, en vint. Ils étaient plus nombreux et plus forts et ils étaient là pour tout nous prendre. Je ne voulus pas les laisser nous prendre tout ce que nous avions, parce tout nous prendre dans une période aussi terrible que celle-là c'était comme si ils nous tuaient. Et par une geste clément, oui c'en était un, ils décidèrent que notre mort arriverait plus rapidement et que prévu. Ils nous attrapèrent chacun de notre côté et nous enfoncèrent chacun une lame dans le corps. Je pouvais entendre les cris de mes enfants et de Marianne mais je ne pouvais rien faire, j'étais impuissant. Glissant contre le mur et laissant couler mon sang, je baignais dedans, je ne sentais plus rien, je ne voyais plus rien, je n'entendais plus rien. C'était la fin. Ou plutôt ça devait être la fin. Et ça aurait été beaucoup plus facile si l'avait été. Mais un moment après, quelques minutes ou quelques heures ? Je ne sais pas. Je rouvris mes yeux alors que ma vue était complètement floue. Autour de moi je pouvais voir... rien. Ils avaient même pris la table en bois que j'avais moi même façonner. Peu importait, la douleur me revint soudainement et je pus m'entendre hurler. J'avais froid, terriblement froid, comme jamais et je pus apercevoir la porte qui était toujours ouverte. En jetant un coup d'œil vers la porte je vis entrer une silhouette, une énorme silhouette habillée d'une façon sombre, c'était un homme c'était sûr. Était-ce les bandits qui revenaient? Ou d'autres bandits? Les questions qui fusaient dans ma tête ne purent trouver de réponses. Je préférais attendre et voir alors que poussais toujours des gémissements de douleur. J'observais l'homme se diriger d'abord vers les corps inerte de mes enfants et de ma femme et lorsque l'homme se dirigea alors vers moi, je compris que c'était fini pour eux. Une certaine peine me transporta et me fit oublier la douleur. Je ne sais pas pourquoi, je ne me souviens pas avoir éprouvé un quelconque amour envers ma famille à part ce moment-là, peut-être était-ce à cause de ma transformation? Lorsque l'homme s'approcha de moi, seules deux choses se distinguèrent de sa silhouette noir, deux ronds jaune perçants au milieu de son visage qui semblaient être ses yeux. Comment était-ce possible ? Alors qu'il se pencha sur moi, je me sentis transporté par sa présence à côté de moi et surtout, ma douleur s'envola soudainement. Puis mes yeux devinrent de plus en plus lourds et soudainement... plus rien... plus aucun souvenir. Jusqu'à mon réveil.

    Lorsque je me réveilla, une douleur énorme me prit au niveau de mon estomac et de mon cœur, je ressentais une faim terrible, comme si je n'avais pas mangé depuis une semaine. Mes yeux s'ouvrirent soudainement et mon corps se leva instinctivement si vite que je ne compris pas comment je pouvais avoir autant de forces alors que je m'étais fait poignardé. Étais-je au paradis ? Ou en enfer ? Je balaya la salle du regard quand l'homme que je avais vu avant de perdre conscience arriva d'une vitesse tellement inimaginable que je le vis pas arriver, un geste de recul me pris alors.


    ▬ Vous êtes enfin réveillé, pendant un moment je crus que la transformation avait échoué, qu'il était trop tard. dit-il sur un ton enjoué. Quant à moi, mon corps me paraissait tellement inconnu et terriblement fort que je me mis sur mes jambes sans savoir comment et soudainement je me mis sur mes gardes.

    ▬ Qui êtes-vous ?! Que faites-vous chez moi ?! criais-je à l'égard de cet homme. Le rire de l'homme me parurent résonner dans ma tête, tellement ils m'étaient insupportables.

    ▬ Je suis Coffin. Et mon ami, je pense t'avoir sauvé la vie... Enfin si on peut appeler cela une vie. répondit-il.

    ▬ Où est ma femme ?! Où sont mes enfants ?! Je continuais toujours de crier, ma faim me rendait hors de moi, ce qui apparemment agaçait l'homme qui ferma les yeux et effaça d'un geste de la main mes cris.

    ▬ Arrêtez donc de crier mon cher, vous allez très vite manger et ne vous inquiétez pas, ce n'est pas la famine qui dévaste le pays qui vous empêchera de vous rassasier. Il prit une légère pause. " Pour vos enfants et votre femme, c'était malheureusement trop tard, mais dites vous qu'ils sont peut-être dans un monde meilleur ? " continua-t-il sans grandes convictions.

    Voilà comment je fus transformé et voilà comment je connus Coffin, le Valtafëa qui m'avait donné une seconde chance et qui m'a tout appris.

    I NEED SOMEBODY ! NOT JUST ANYBODY.

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    Cela faisait quelques mois que Coffin avait disparu de la circulation en laissant derrière lui un vulgaire pendentif en bronze – quelque chose de précieux à l’époque, qu’il avait toujours eu sur lui, mais qu’il m’avait laissé. Des mois pour un Valtafëa, ce n’est vraiment rien, mais c’était la première fois que je me retrouvais seul depuis que j’étais devenu un dévoreur d’âmes. En effet, moi et Coffin avions été pendant plus d’un siècle les deux acolytes, mais une règle que Coffin m’avait apprise : ne prendre l’âme que de ceux qui sont à l’agonie. En effet dans la petite contrée où nous étions, il était très difficile de se cacher, mais nous aimions cet endroit et nous ne voulions pas la quitter… Jusqu’à ce qu’il me quitte, sans rien dire et en laissant derrière lui ce vulgaire pendentif. Le fait qu’il me quitte me mit vite en colère – d’ailleurs depuis que j’étais un Valtafëa je me mettais rapidement en colère. Je me mis à tuer de tout, des femmes, des hommes et même des enfants. Tout ce qui avait le malheur d’être sur mon chemin pour Londres – la capitale, où j’espérais me faire un bon festin – perdait son âme. Ce fut plaisant et je trouvais que c’était beaucoup plus amusant, même si ce n’était pas ce qu’on m’avait appris. Je me découvrais un désir incroyable envers les femmes, les plus belles, les plus gracieuses et les femmes aux âmes les plus bonnes. Je prenais un malin plaisir à savourer chacun de leurs faits et gestes avant de les tuer. Je ne faisais pas attention à qui pourrait me voir, à l’époque personne n’avait de gros soupçons comme aujourd’hui. Un jour, je voulus plus que de simples prostituées de la ville, je voulus en prendre une, qui ne voulait pas spécialement de moi. Je décidais de rentrer dans un hôtel et qu’au petit matin, au marché où les femmes iront faire leurs courses, j’en choisirai une que je pourrai machiavéliquement désirer et savourer. Sur le chemin pour l’hôtel, mon attention fut soudainement retenue par une silhouette dans la nuit, un genre de chevalier ? Non. L’odeur de son parfum était si parfumée et sucrée que je sus que c’était une femme. Un léger sourire s’afficha sur mes lèvres ce jour-là, j’avais l’impression qu’une main divine me proposait un repas sur un plateau d’argent. Je la pris alors par surprise – pour voir son regard effrayé qui rendrait mon désire encore plus grand, et je la plaquai contre le mur de vieilles pierres. La bloquant avec mon corps, elle avait beau être armée, elle ne pourrait rien contre ma force de Valtafëa.

    - Ne savez-vous donc pas qu'il est dangereux pour les demoiselles de se promener en de tels endroits la nuit... l’informais-je sur un ton qui se voulait moqueur.

    Son odeur me rendait fou, beaucoup plus que celles des autres femmes que j’avais connu… Elle avait quelque chose, quelque chose d’intense en elle et j’étais tout excité à l’idée de goûter ce que pouvait être cette chose. Alors que mon nez et mes lèvres dessinaient les courbes de son cou pour arriver jusqu’à son visage mais une texture liquide et gluante à la fois atterrit sur mon visage… M’avait-elle craché dessus ? Oui en effet, elle l’avait fait. Cette femme avait du culot et du courage aussi. Puis une idée me vint à l’esprit. Pourquoi dévorer son âme ? Pourquoi ne pas faire de ce courage une arme fatale ? Un acolyte comme il avait put en avoir pendant ses premières années de Valtafëa ? Elle lui tiendrait compagnie et ce sera tellement facile de se faire accepter par les autres quand les autres croient que vous êtes déjà mariés. Elle était parfaite pour le rôle. Elle serait sûrement difficile à dompter au début, comme je l’avais été pour Coffin. Mais j’avais pris ma décision.

    - Tu es faites pour moi ma jolie ! M’exclamais-je tout à fait fier de moi.

    Je n’avais jamais transformé quelqu’un auparavant et j’espérais que ma première fois ne serait pas un désastre. Je commençais alors à rassembler mes forces comme pour prendre possession de son âme, mais à un moment donné – je sus instinctivement lequel, je m’arrêtai. La jeune chevalière s’écroula au sol et je m’agenouillai à côté de son corps et contrôlai son pouls. Elle était toujours vivante. Je décidai de la porter et de l’emmener dans l’hôtel le plus miteux de la ville, le seul hôtel où ils ne poseraient pas de question. Promis, la prochaine fois, elle aura une meilleure chambre, pour l’heure il fallait s’occuper de son éducation.

    I LOVE TO HATE YOU, AND HATE TO LOVE YOU.

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    Depuis que j'avais pu vivre en tant que Pirates, je n'avais encore moins de remords à voler, à piller ou encore à violer des femmes - même si je n'en avais pas besoin. Alors que Lizzie avait fait une grosse erreur en ayant dévorer l'âme du capitaine du bateau, nous dûmes nous en aller pour les Indes. Un territoire que les Anglais avait quelque peu investit, ainsi nous pourrions nous promener en Inde comme on le souhaitait, tant les Anglais là-bas étaient plus respectés que les Indiens eux même. Nous nous sommes très vite fait des amis, des Commandants de l'armée Anglaise, ou encore d'autres Valtafëa qui s'étaient bien intégrés dans le pays et nous avons pût posséder rapidement un habitacle plus que satisfaisant. Comme à notre habitude, nous avons organisé plusieurs fêtes où la débandade régnait en maitre, afin de repérer des proies. C'est ainsi qu'un soir, alors que j'étais entouré de deux jolies jeunes jumelles aristocrates Anglaises qui avaient l'air de m'apprécier toutes les deux autant que moi je les désirais, Lizzie s'approcha de moi, voulant elle aussi faire partie du jeu. J'avais faim ce soir, il fallait l'avouer. Mon appétit augmentait siècles après siècles, comme-ci les âmes ne me suffiraient plus un jour. Alors que j'essayais d'amadouer ces deux frêles petites créatures, je sentis ma Valtafëa préférée s'assoir sur mes genoux, habillée d'une tenue Indienne qui mettait ses formes en valeurs. Un sourire s'afficha sur mes lèvres mais il disparut très vite lorsque je remarquais que mes deux petites princesses n'appréciaient pas la présence de Lizzie, ce qui mettrait mon diner en périls. Je décidais alors de mettre un terme au jeu auquel Elizabeth voulait jouer. En prenant un air dur et stricte, je m'exprimais envers elle comme un père qui s'exprime envers son enfant.

    - Tu ne vois pas que je suis occupé Lizzie ? dis-je. Vas donc faire joujou avec tes amis. Lui ordonnais-je en montrant d'un signe de tête les hommes qui n'attendaient que se faire la jolie créature.

    Je savais que j'allais le regretter... Mais ces deux créatures assises de chaque autour de moi me faisait perdre la réalité des choses. Je vis le visage de mon acolyte se changer soudainement, elle fronça les sourcils, me lança un regard noir qui voulait dire qu'elle n'en avait pas fini avec moi et se leva pour sortir de la salle, laissant ses prétendants seuls et sans aucune chance de se la faire. Je la regardais s'en aller alors qu'une des deux filles pris mon menton entre ses mains, approcha mon visage du sien et m'embrassa tendrement. Mes yeux n'avaient quant à eux pas encore quitter la porte de sortie des yeux.
    (...)
    Quelques instants plus tard, je sortis de la salle avec les deux belles créatures. L'une d'elle commença à monter les escaliers pour atteindre les chambres, mais je l'arrêta.

    - Non. Pas par ici. dis-je d'une façon sèche, elle furent surprises alors je repris une voix mielleuse. J'ai un endroit privé, très peu de gens l'ont vu jusqu'ici, mais vous maintenant, vous êtes des privilégiées.

    Les deux filles gloussèrent tant elles étaient contentes d'êtres aussi VIP. Je les emmenais alors au sous sol, où personne ne pourrait nous entendre et je les fit entrer dans la salle que l'on pourrait appeler salle de torture. Elle étant pourtant très jolie, des canapés rouges, des tableaux, une fausse cheminée et beaucoup de vases chinois. La totale pour pouvoir séduire tant les hommes (pour Lizzie) que les femmes (pour moi). Je les laissais dans la salle et leur dis que je revenais dans quelques minutes. Je les quittais et en sortant de la salle je sentis quelqu'un me prendre violemment par le col, et vu la force ce n'était pas un homme mais un Valtafëa. Je reconnu alors l'odeur de Lizzie qui me bloqua contre la porte, puis la ferma à clés au passage. Grâce à mon ouïe développée je pouvais entendre les jumelles s'agiter. Un sourire s'afficha sur mes lèvres, même si je savais que Lizzie m'en voulait. Ses lèvres rencontrèrent les miennes d'une passion qui me chamboulèrent pendant quelques secondes.

    - Arrête, tu m'excites et je redeviens un misérable homme quand tu fais ça...

    Je n'eus même pas le temps de continuer à la taquiner qu'un coup de genoux vinrent rencontrer mes bijoux de famille. On a beau être des Valtafëa, ce coup restait un coup particulièrement douloureux, surtout quand ça venait d'une Valtafëa en colère. Mes parties s'enflammèrent et je me pliais en deux devant ma coéquipière.

    - Cela t'apprendra à me délaisser pour de la viande ! dit-elle folle de rage. Et ce n'est pas fini, ces deux trainées sont à moi, quand je suis en colère, je suis affamée ! conclut-elle avant de me pousser et de rentrer dans la salle.

    Certes j'aurais pu me défendre et lui faire du mal, mais que faire contre Lizzie ? Rien, je restais parfois impuissant, mais je gardais toujours un grade supérieur à elle, l'ayant moi-même transformée. Finalement, elle en prit une et j'en prit une. On avait beau se disputer comme un vieux couple, on ne pouvait s'empêcher de se rabibocher.

    CURTAIN'S FINALLY CLOSING.

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    Depuis déjà quelques jours j’attendais le retour d’Elizabeth qui n’arrivait pas. Comment avait-elle osé m’oublier et m’abandonner pour toujours alors que c’était moi qui l’avait transformé et qui lui avait donné cette vie. J’étais tout aussi révolté contre elle que contre moi, parce que je l’avais frappé en publique, ce que je n’avais jamais fait. Mais il faut revenir aux faits.

    FLASHBACK.
    Alors que la tension était palpable entre Elizabeth et moi, nous organisions une énième fête que l’on pouvait sans problèmes qualifier d’orgie à présent, mais ce soir-là, je n’avais vraiment pas envie de m’amuser. Alors qu’une jeune Valtafëa fraichement transformée s’asseyait près de moi, posant au passage sa main sur ma cuisse, je ne pouvais m’empêcher de surveiller Lizzie qui était entre les mains d’un autre Valtafëa, que je n’appréciais guère en plus de ça. Mon sang bouillait et je serrais les dents afin de ne pas me jeter aussi rapidement que je le pouvais au coup de cet enfoiré afin de lui arracher la tête. Mais pas ici… Pas maintenant. Car en effet j’avais d’autres projets, aujourd’hui je montrerai à Lizzie que je ne la délaissais pas. Alors je levais la main pour indiquer à la jeune transformée d’arrêter son rentre dedans, ce qu’elle fit rapidement, puis je me mit debout et marchais d’un pas assuré vers les deux amants qui allaient s’en aller. J'attrapais alors son bras, d'un geste qui fut plus violent que ce que je voulais réellement. Je plongeais alors mon regard dans le sien pour lui montrer mon mécontentement.

    - A quoi est-ce que tu joues Lili ? lui demandais-je d'une façon aussi stricte que celle qu'aurait pris un père avant de faire la morale à sa fille, mais apparemment elle n'était pas du tout du même avis.

    - Ne m'appelle pas comme ça ! cria-t-elle en dégageant son bras.

    Elle me cherchait, elle me cherchait énormément mais je ne devais pas m'emporter, je sentais tous les regards posés sur nous et j'ordonnais à l'autre Valtafëa de s'en aller. Je ne voulais pas lui faire de peine, mais pourtant je fis ce que mon instant d'animal me poussa à faire. Ma main se posa alors sur sa nuque et j'attirai son corps contre le mien si rapidement qu'elle ne put m'en empêcher. Mes lèvres se pressèrent sauvagement sur les siennes, je sentis alors qu'elle me repoussais avec ses mains contre mon torse, je lâchais alors prise. Mes sourcils se froncèrent devant ce refus, que voulait-elle au juste ?

    - J'en ai assez Black ! Je ne suis pas une poupée avec laquelle tu peux jouer quand cela te chante. Je sais maintenant. Tu n'as aucun sentiments, tu es vide !

    Comment pouvait-elle me parler ainsi et que savait-elle réellement de moi et de tout ce que j'avais vécu jusqu'ici ? De tout ce que j'avais gardé au fond de moi comme la mort de ma famille entière, comme le départ de Coffin, comme la solitude que je ressentais malgré la présence de tous mes invités, que savait-elle réellement de ce que j'avais au fond de moi ? Rien. Rien ! Instinctivement et sans qu'il puisse se retenir, le revers de ma main vint rencontrer sa joue dans un bruit sourd qui résonna dans la salle silencieuse. Je la fixais sans dire un mot, alors qu'elle se tenait la joue. Je voyais le dégoût qu'elle ressentait envers moi dans ses yeux, je pus apercevoir ses yeux s'embuer mais je ne réagissais pas, j'étais trop fier pour m'excuser et je ne voulais pas m'excuser. Puis il ne fallut que quelques secondes pour qu'elle quitte la salle, puis la maison et enfin ma vie. Alors que tout le monde me regardait, mon sang recommença à bouillir et ce qui me servait de cœur se serra au fond de ma poitrine, j'étais terriblement en colère de ne pas avoir la situation en mains. Je regardais autour de moi et tout le monde me regardait.

    - Qu'est-ce que vous regardez ?! criais-je à travers la salle qui résonna à nouveau, tellement personne ne voulait émettre un bruit, tout le monde détourna le regard mais je continuais. La fête est finie ! DE-GUER-PI-SSEZ ! criais-je tout en m'en allant et en montant les escaliers.
    FLASHBACK ENDED.

    J'aurais pu aller la chercher, j'aurais pu la retrouver à ce moment-là rien que par son odeur que je connaissais plus qu'aucune autre, mais je suis resté, car j'étais trop fier et j'étais persuadé au fond de moi qu'elle reviendrait d'elle-même. Quelques semaines plus tard alors que trop de soupçons étaient devenus pesants ici, alors que Lizzie n'était plus là, je quittais l'Inde pour rejoindre l'Amérique où je pourrais me défouler à me battre et à tuer autant que je voudrais.

    TELL ME YOU WANT ME, JUST ONE MORE TIME.

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    Je me retrouvais en face d'elle, alors qu'il y a encore environ un siecle j'étais dans son lit de jeune fille fragile en Italie. Commet avait-elle pu changer autant ? Son visage avait complètement changer et était devenu un visage dur et impassible qui reflettait bien son statut de Valtafëa. J'aurais pu la transformer la première fois que je l'avais rencontré, mais quand je l'avais regardé endormie dans le lit, je voyais le visage d'Elizabeth et ce qu'elle aurait put être si elle ne m'aurait pas suivie. C'était la première fois et la seule fois que je ne me nourrissais pas de l'âme d'une femme avec qui j'avais couché. Cela m'était resté dans l'esprit pendant des années, à chaque fois que je couchais avec une femme, je me demandais ce que j'allais faire d'elle. Pourtant je prenais toujours la même décision : prendre son âme et parfois, je regrettais de ne pas l'avoir fait avec Vangelis. Quand j'appris qu'elle avait été transformée par un autre que moi, ma fierté en prit un coup entre les jambes. Je voulais le voir de mes propres yeux et pouvoir constater par moi-même ce qu'elle était devenue. Maintenant que j'étais assise sur le sable en face d'elle, je sentais bien que son odeur avait changé, mais malgré tout elle restait la même. Je sentais au fond d'elle une certaine amertume envers moi et quand elle me parlait, un aveugle l'aurait vu. " Ne me dis pas que tu m'as poursuivi jusqu'ici, tout de même, comme un chasseur derrière sa proie ? " Sa remarque m'amusa et je décidais d'entrer dans son jeu.

    - Nuit et jour. Tu m'obsédais, si tu savais. Et je me retrouve le cœur brisé qu'un autre ait pu le faire avant moi.

    Je fis mine alors d'être atteint par mes dires en posant ma main sur mon cœur, quand je sentis un coup au niveau de mon bras. " Espèce de goujat. Tu es vraiment un idiot fini, mon pauvre. " Mon sourire fut plus apaisé, mais plus elle me repoussait plus je ressentais une sorte d'envie envers elle. La nuit qu'il avait passé avec elle me traversa l'esprit lentement pour me faire envie une nouvelle fois de désirer sa chaire qui était à présent celle d'une Valtafëa. Alors qu'elle décida de se lever pour s'en aller, d'un geste habile j'attrapais sa main afin de la faire rassoir.

    - Ne le prends donc pas comme cela, Angel. dis-je sur un ton mielleux. Et puis, ce n'était pas ce que tu disais, il y a quelques années... ma phrase était pleine de sous-entendus qu'elle comprendrait sûrement.

    Je decidais alors de la faire céder par la séduction. Je commençais alors à promener mon nez dans le creux de son cou, puis déposais quelques baisers sur sa peau qui frémissait à mon contact. J'y étais habituer et je lui faisais sûrement encore de l'effet après toutes ces années. Elle me repoussa à nouveau, mais cette fois-ci physiquement. Elle avait acquis une certaine force en étant transformée. Je ne fus pas spécialement irrité par son comportement, cela prendrait peut-être plus de temps mais j'en profiterais de toute manière. " J'ai changé, Black. J'ai 79 ans, maintenant, plus dix-sept ans. " Un sifflement sortit de ma bouche comme pour accentuer l'âge de la jeune Valtafëa, savait-elle à quel point il était vieux ?

    - Pour une vieille de 79 ans, tu te portes vraiment bien. Tu possèdes encore tous tes charmes. Une peau laiteuse... Je commençais à jouer avec sa peau en promenant mon doigt le long de ses parties de peau dénudées. Des formes toujours aussi bien définies... Une odeur corporelle absolument délicieuse...

    J'inspirais une fois en plongea mon nez dans les cheveux de Vangelis pour accentuer mes dires. Alors que j'attrapais sa main, elle me repoussa encore. Elle était très têtue et j'aimais bien cela. Je savais de toute façon qu'elle céderait une nouvelle fois au charme et aux sensations que je lui avais laissé dans ses souvenirs de cette fameuse nuit. " Je ne veux plus rien avoir avec toi, Downey. Tu m'entends ? " J'adoptais alors la moue boudeuse d'un enfant et le voix plaintive qui allait avec.

    - Tu n'es vraiment pas drôle, Angel. Tu pourrais au moins avoir un minimum de pitié et de reconnaissance pour un preux combattant.

    En effet j'étais l'un des soldats anglais envoyés en France pour repousser l'attaque des nazis. Après quelques mois de combats, je me lassais de toute cette guerre et les âmes que je prenais aux officiers nazis que je trouvais n'avait pas bons goûts. Un simple et horrible goût. Alors je décidais de quitter le combat pour revenir en Angleterre. Je la regardais alors s'en aller, alors que je sentais déjà des gouttes sur mes bras. Un énorme sourire prit possession de mes lèvres puis je me levais et me servit de mes facultés développée pour arriver juste derrière Vangelis qui se réfugiait dans une grotte. Très près d'elle, je pénétrais dans la grotte avec elle.

    - Nous voilà tous les deux coincés ici. Quelle tristesse.

    Restant sur ses pas et la suivant jusqu'à ce qu'elle se rende enfin compte qu'il n'y avait aucune issue, je me permettais de me coller à elle et de la bloquer contre le mur de pierre de la grotte.

    - Il semblerait qu'on y soit pour un moment. Que souhaites-tu qu'on fasse pour passer le temps ?

    Je sentais son souffle chaud contre ma peau glacée. Mes yeux se plongèrent dans les siens qui étaient occupés à me scruter, je la laissais faire comme elle me laissait faire, j'attendais simplement qu'elle craque car c'était ce qu'elle allait faire. Je sentis alors sa main sur ma nuque qui attira mon visage vers le sien. " J'ai horreur d'user des mots. " Elle avait craqué. Nos langues s'emmêlèrent soudainement, leurs souffles et leurs corps aussi. Quand il eu finit, il regarda la jeune Valtafëa s'endormir sur son bras, puis quand le sommeil l'emporta, il se leva silencieusement et s'en alla aussi rapidement qu'il était arrivé.


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MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyMer 14 Avr - 22:36



    WELLINGTON, HERE I AM !

    BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. 21jdvfp BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. J7vzme BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. Ivamms

    " Crow... ça fait si longtemps. " le voix venait de derrière et je connaissais cette voix, je la connaissais très bien. C'était celle de mon géniteur, celui qui m'avait transformé, celui qui m'avait donné cette vie. Je me retournais alors vers lui. Il n'avait pas changé, il avait toujours ce visage si paisible qu'on lui donnerait la Lune s'il la demandait. Ces yeux de couleur marron mais qui inspirerait confiance à tant d'humains. Ce sourire rassurant qu'il affichait. Tous ces élèments avaient sûrement fait de lui le grand Valtafëa qu'il était toujours. Pour la première fois de toute mon existence, je me tus, j'étais à court de mots tellement Coffin me faisait de l'effet. Peu de gens m'appelaient Crow et c'était lui qui m'avait donné ce nom, le jour où je m'étais fait transformée et que j'étais tellement affamée que je voulais me faire cuire un corbeau qui s'était posé devant la maison. Bien évidemment je ne savais pas encore que même milles corbeaux n'auraient pas pu me rassasier. Coffin me sortit rapidement de mes songes. " Je vois que tu as bien prit tes marques en tant que Valtafëa, je t'ai souvent observé et comme je l'avais pensé, tu te débrouilles extrêmement bien sans moi. Tu... " il ne put finir que j'ouvris enfin la bouche pour le couper.

    - Tu m'as abandonné ! lui criais-je, même un sourd aurait pu percevoir l'amertume qui s'était accumulé au fond de moi. Tu m'as laissé seul, alors que tout ce que j'avais connu jusqu'au jour où tu es partit c'est toi et les proies que tu voulais bien me refiler ! lui reprochais-je amerment.

    Un sourire aimable s'afficha sur le visage de Coffin. Je voulais absolument ne pas me faire amadouer par ses mimiques mais c'était plus fort que moi, il avait une certaine influence sur moi, un énorme inlfuence... " Mais tu t'es admirablement bien sorti. Imagine que je ne t'aie pas laissé seul... Aurais-tu vécu ce que tu as vécu jusqu'ici ? " demanda-t-il avec assurance.

    - J'aurais sûrement vécu beaucoup mieux... soufflais-je.

    Coffin fit un signe positif de la tête et continua. " Aurais-tu rencontré Elizabeth ? " mon corps tout entier se pétrifia à ce nom. Comment pouvait-il savoir ? Comment avait-il pu m'observer toutes ces années sans que je ne m'en aperçoive ? Je n'avais aucune réponse et c'est ce qui m'irrita. Ma mâchoire se serra, je n'avais rien à répondre à ce qu'il m'avait demandé. Il avait tout simplement touché une corde sensible. Il continua alors. " Peu importe... Si je suis revenue ce n'est pas pour rien et tu le sais, Crow. " j'acquiesçais d'un signe de tête, après ces siècles d'attentes il fallait sûrement qu'il y ait une bonne raison à son retour. " Wellington... La Nouvelle Zélande... Tu connais sûrement. " il prit une pause, puis reprit. " Il y a des bruits qui courent là-bas, que des humains sont consommés et jetés à la vue d'autres humains. La police là-bas a trop de soupçons, et les habitants aussi. Les enquêtes des humains ne nous amène que des problèmes et s'ils se rendent de quelque chose, on a beau être plus forts, ils sont plus nombreux et pourrait nous chasser et nous exterminer comme des sorcières. " j'écoutais ce petit récit, mais je n'arrivais pas à savoir à quoi il voulait en venir.

    - Quel est le rapport avec moi ? Si je coule mes beaux jours en Malaisie ce n'est pas pour rien. Je n'ai vraiment pas envie de me mélanger à ce genre de problèmes. Les nouveaux Valtafëa ne savent pas ce qu'est le respect de certaines de nos règles.

    Coffin eu un léger rire, ce qui me surprit. " Je vois que tu n'as rien perdu de ce que je t'ai apprit. En fait, je pensais que tu pourrais aller voir là-bas ce qu'il s'y passe. Je connais très bien ton pouvoir de persuasion. "

    - Qu'est-ce que j'y gagne ? soufflais-je dans un soupire. Je me fiche qu'ils se fassent voir ou pas. J'ai vécu assez longtemps pour pouvoir attendre une mort si elle vient un jour.

    Coffin effaça d'un signe de main ce que je venais de dire. " Tu ne sais pas ce que tu dis. Néanmoins je pense que si je te dis qui est à Wellington, tu ne refuseras pas mon offre. " mes sourcils se haussèrent, je doutais fortement qu'il ait quelque chose à m'offrir de meilleur que le soleil et les plages de Malaisie. J'attendais alors, jusqu'à ce qu'il se décide enfin d'accoucher. " Elizabeth vit à Wellington. Avec une amie que tu connais très bien en plus. Je suis sûr que tu as envie de prendre une certaine revanche ? Ou au contraire peut-être veux-tu faire des excuses ? " demanda-t-il d'un ton amusé. Je me mit à rire, un rire nerveux en fait, car le fait de pouvoir revoir Elizabeth me rendait nerveux.

    - Des excuses... Tu me fais rire. dis-je avant de prendre une pause. Une pause qui dura assez longtemps car le silence s'installa pendant longtemps avant que je donne ma réponse. Okay, j'irai voir ce qu'il se passe là-bas... Mais je demande une chose en retour. je levai mes yeux vers lui et il fit un signe de la tête pour que je lui dise tout. Je veux te revoir un jour, histoire que je puisse t'arracher les yeux et les tremper dans un bon verre de Rhum. un silence s'installa pendant trois secondes avant que l'on se mette tous les deux à rire.

    C'était comme si il ne m'avait jamais quitté et de nouveau ce jour-là, il me quitta comme la première fois, sans que je ne m'en rende compte.


Dernière édition par Black Downey le Lun 26 Avr - 3:28, édité 3 fois
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Vangelis Castell
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MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyMer 14 Avr - 23:06

craccrac craccrac
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche. :hinhin:
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MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyJeu 15 Avr - 12:06

    CHAAAA waaa waaa
    Bienvenue sur ES & bonne chance pour cette fiche smoke craccrac :hinhin:
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Elizabeth Callen
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MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyLun 19 Avr - 21:42


    Mon amour hin craccrac loveee
    Bienvenue Smile Smile hâte de liire !
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MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyMar 20 Avr - 22:36

Merci les sales gosses I love you hin
J'essaye d'avancer petit à petit, j'ai fait ma première anecdote bigsmile
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MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyLun 26 Avr - 3:34

Désolée du DP Smile
Je pense avoir fini, c'est bon ? bigsmile
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Vangelis Castell
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MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyLun 26 Avr - 8:25

Tu gères la fougère. hin
Fiche validée ; bon jeu parmi nous ! I love you
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MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyLun 26 Avr - 11:15


    I love you I love you craccrac waaa
    J'aime j'aime j'aime sniff
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MessageSujet: Re: BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. BLACK ▪ Les chroniques d'un démon. EmptyLun 26 Avr - 15:28

Merci les fiiilles hin Les choses sérieuses peuvent commencer siffle
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