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cena romantica for one night in my bed, chérie ?

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Alec D. Braxton

Alec D. Braxton

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♣ ARE YOU AFRAID ?
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cena romantica for one night in my bed, chérie ? Vide
MessageSujet: cena romantica for one night in my bed, chérie ? cena romantica for one night in my bed, chérie ? EmptyDim 16 Mai - 16:10

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LET US HAVE FUN

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    Le cadran sonnait, sonnait, sonnait. Avec un grognement rauque, je l'éteignai brusquement. Je restai ensuite quelques bonnes minutes dans mon lit, tel un ours paresseux, puis les rayons qui s'infiltraient par la fenêtre eurent raison de moi. Je me levai non sans bâiller. Je me frottai les yeux question d'y voir quelque chose. Insatisfait, je me rendis au lavabo où je m'aspergeai d'eau à plusieurs reprises. Je me dirigeai ensuite vers la serviette suspendue plus loin pour m'essuyer le visage. Je me demandai ce que la journée me réserverait en surprises. Aujourd'hui, je n'avais pas grand-chose de spécial à faire. J'avais déjà terminé de promouvoir mes talents d'avocat dans ma ville natale. J'avais distribué des cartes d'affaires à qui le voulait bien. Il ne me restait plus qu'à attendre... ou à chercher des clients. Je me considérais bien suffisament riche pour choisir la première alternative. Donc, une journée à rien faire. Le bonheur. Total et incontesté.

    Après avoir choisi des vêtements et tout le tralala, j'enlevai finalement mes vêtements pour la douche matinale. Cette dernière me fit grand bien et c'est là que je trouvis quelques idées pour remplir ma journée. Tout en me savonnant consciencieusement mes abdominaux - dont j'étais très fier - je songeai à rendre visite à mes amis les trois C. Je pouvais toujours les appeler, mais je songeai qu'ils devaient sûrement travailler aujourd'hui. Je me demandai alors quoi faire, contrarié. Une visite chez Papa ? Non, je n'en avais pas vraiment envie malgré toute l'affection que je lui porte. Alors qui, qui ? Tristement, je pensai que mon réseau social n'était pas très grand, tout compte fait. Pourtant, n'était-ce pas ma ville natale ? J'avais perdu plusieurs contacts en partant pour les États-Unis et c'est seulement là que je m'en rendais compte. Néanmoins, il y avait bel et bien quelqu'un que je pouvais voir ce jour-ci. Mary Jane Herrington. Je me demandai pourquoi je n'y avais pas songé plus tôt.

    En sortant de la douche, je convins toutefois que passer la journée complète avec elle, ce serait beaucoup trop long. Et pas son genre à elle du tout. Et je finirais par avoir l'air d'un imbécile. Non, je devais l'inviter ce soir. En attendant, pourquoi ne pas faire un tour en ville ? Après m'être habillé, avoir mangé un brin et m'être brossé les dents, j'étais fin prêt. Je me rendis dans ma superbe BMW décapotable, mon bijou. Quelques minutes plus tard, j'arrivai dans le centre-ville et - à mon grand soulagement - trouvai une place de stationnement libre. Je me garai, l'air décontracté

    Je passai ma matinée et mon après-midi là-bas, à flâner et profiter de l'air. Je mangeai pour le déjeuner, mais retournai chez moi pour le dîner. J'avais bien parlé à une bonne dizaine de personnes, dont la plupart étaient des filles que j'essayais de draguer. Mais sans que cela ne donne absolument rien. La plupart étaient déjà en couple, les autres avaient des défauts qui me convaincaient de virer de cap. Déçu, je me dis que les meilleures rencontres se faisaient probablement toujours dans des boîtes. Je rentrai chez moi comme un loup penaud qui n'a rien trouvé à la chasse. J'étais peut-être mécontent de ma journée, mais je savais que ce qui m'attendait allait être plus que bien. Mary Jane Herrington. À vrai dire, je l'avais déjà appelé et elle m'avait déclaré qu'elle serait chez moi pour le dîner. Pourquoi pas ?, avait-elle dit avec - j'en étais sûr - un vilain sourire aux lèvres. En rentrant chez moi, je me mis donc directement à la tâche. Je m'employai à installer ma plus belle nappe. Je remplaçai ma table à manger traditionnelle pour une beaucoup plus petite ; faite pour deux. J'y ajoutai des chandelles et réglai la lumière pour qu'elle soit tamisée. Enfin, je mis de la musique relax en arrière plan et commençai à cuisiner. J'aurais peut-être dû l'inviter au restaurant, mais je préférais que le lit soit proche si j'avais ma chance.

    De plus, je voulais pratiquer mes talents en cuisine et j'avais une délectable recette en tête. En fait, elle était très simple. C'était un repas italien. Pizza et spaghetti. Un délice. Mais servie avec classe. Un nouvel ami à mon père, un italien, m'avait montré comment faire pour charmer mesdames. Je l'avais laissé faire, nullement gêné qu'il me donne des cours. Après tout, il m'apprenait la cuisine et non la séduction ! Il m'avait montré comment faire une pizza exceptionnelle ainsi qu'un superbe spaghetti. Je m'étais montré très bon élève. Ma pizza terminée, j'en étais très fier. Pepperoni, fromage, bacon et olives noires. Mon spaghetti, lui était fait d'une sauce maison exquise de boulettes et de crevettes. Les pâtes étaient des linguinis. Une fois le tout achevé d'être cuisiné, je coupai la pizza en deux, puis en quatre, puis... de sorte que chaque assiette se vit offrir trois pointes. Je mis une moitié du spaghetti dans la moitié d'assiette qui restait à un et répétai l'opération pour l'autre. Je rajoutai un peu de fines herbes par-dessus pour augmenter l'effet invitant. Puis, je remplis une cruche d'eau que je mis à disposition sur la table.

    Tout en faisant tout cela, je songeai à la première fois que j'avais invité une fille à dîner. Ç'avait vraiment été parfait et j'espérais pouvoir reproduire la même chose aujourd'hui.

    ♠️ ♠️ ♠️

    Les chandelles venaient d'être allumées, tout semblait parfait pour pouvoir l'accueillir. J'étais très excité. Je trépignais comme un enfant en préparant le repas, une délicieuse lasagne. J'étais alors dans un de mes appartements loués des États-Unis - au Nouveau Mexique. La soirée précédente, j'y avais rencontré une jolie demoiselle que j'avais par la suite décidé d'inviter à dîner chez moi le lendemain. Quand elle était arrivée, je l'avais invité à entrer, très galant. Elle était d'une grande beauté. Pas étonnant qu'elle travaille pour une agence de mannequinat ! C'était une grande blonde élancée, sportive. Elle était le stéréotype parfait, quoi. Yeux bleus, cheveux blonds, l'air coquin etc. Elle portait une magnifique robe bleue claire en soie qui était en parfaite harmonie avec ses yeux. De mon côté, je portais alors une chemise rouge ainsi qu'un pantalon noir. Comme pour Mary Jane, les premiers boutons étaient déboutonnés et mon parfum était exquis. La bonne vieille méthode de séduction.

    Elle s'appelait Emily. Une vraie bombe. Durant tout le temps que durait le dîner, je ne cessais de loucher vers sa poitrine disons... plutôt développée. Le pire, c'est qu'elle ne s'en rendait même pas compte. Disons que j'étais plutôt discret quand il s'agissait de ça. Je n'étais pas un de ces crétins qui jetent des yeux ronds aux filles... et à leurs seins. Ceux-là ne sont pas subtils. En tout cas, j'étais de plus en plus impatient. Mon sexe s'animait. Mais je ne laissais pas la conversation aller dans tous les sens, je la maintenais, la nourissais. Je savais que c'était important pour que la fille soit satisfaite. Un vrai manipulateur. Quand elle en eut fini de parler et de me poser des questions - et que le dîner fut terminé - je ramassai le tout en jetant des regards de braise à ladite Emily. Celle-ci finit par céder sous mon charme, comme je l'avais prévu.

    Cette nuit-là, je goûtai à un nouveau corps, comme un vampire goûte au sang d'une nouvelle personne. Une fois ma folie apaisée, je pus passer à autre chose. Je ne revis plus jamais Emily. Le lendemain, je partais pour le Texas.


    ♠️ ♠️ ♠️

    En songeant à cela, j'espérai que le scénario soit le même. Je voulais pouvoir découvrir le corps de Mary Jane. Jusqu'à présent, jamais elle n'avait flanché. Elle avait tenu bon à ses envies, mais elle m'avait tout de même embrassé. Je me rappelai la fougueur et le goût de son baiser et j'espérai que plus que mon plan marche. Dans ce cas-ci, toutefois, je désirais revoir Mary Jane. Cette Emily, bien que belle, était incapabe d'assouvrir mon plaisir plus d'une fois. Ce n'était pas le cas de MJ et j'en étais toujours surpris. C'était la première fois que je rencontrais une fille de son calibre. Je m'étais embarqué dans un nouveau niveau.

    Alors, j'entendis la sonnette résonner dans la maison. Rassemblant mon courage, je pris les assiettes et les déposai à leur place et alla ouvrir la porte, excité. Je l'étais peut-être, mais je laissais rien paraître, désireux de paraître nonchalent. J'ouvrai la porte et découvrit Mary Jane dans toute sa splendeur. Elle était magnifique. Moi, je m'étais contenté de me mettre ma plus belle chemise blanche - dont les premiers boutons étaient soigneusement déboutonnés ainsi qu'un pantalon et des chaussures noirs, le tout très classe. Puis, je m'étais appliqué mon meilleur parfum, très enivrant. Tout était choisi... de la chemise à la marque de mes sous-vêtements ; sans blague. Mais elle, elle était... à couper le souffle. Avec un grand sourire charmeur, je l'invitai d'un geste à entrer en disant :

    « Entrez, entrez, milady. C'est encore bien chaud, tout juste sorti du four. »

    Je fermai la porte une fois qu'elle fut dans le portique, acquiesçant un sourire séducteur. La partie était commencée, à moi de jouer les premières cartes.

    [ne dis pas le contraire, c'est vraiment merdique comme post, je sais que je peux faire mieux, mais l'inspiration n'est visiblement pas à son sommet]
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